Robin Echard

Je m’appelle Robin Echard. J’ai 22 ans. J’ai commencé le théâtre vers l’âge de 6-7 ans via des cours qui m’étaient proposés là où j’habitais. J’ai toujours vécu une grande liberté et un épanouissement grâce au théâtre.

Elise Roussel

Je suis passionnée de théâtre et de cinéma. J'ai commencé le théâtre à 10 ans et depuis je n'ai jamais arrêté. À 17 ans, j'ai intégré la classe tremplin du Cours Florent et cette année, je rentre en troisième année théâtre et improvisation du Cours Florent. Cette école m'a permis de rencontrer des personnes qui s'intéressent aux mêmes choses que moi et de créer des projets ensemble. J'aime aussi beaucoup écrire. L'esprit de groupe est vraiment ce que j'adore quand je travaille avec des amis.

Fanny Roussel

Je suis passionnée de théâtre depuis mes 10 ans. J'ai pu pratiquer un peu en jouant pendant 4 ans dans une troupe amateur. En arrivant sur Paris l'année dernière, j'ai également mieux découvert le travail professionnel dans ce milieu et celui du cinéma. Je vais entrer en troisième année théâtre au Cours Florent. J'adore créer des univers et partager des textes. J'aime également beaucoup l'improvisation théâtrale ! Le Cours Florent m'a permis de développer mon jeu mais surtout de faire de nouvelles rencontres.

Timothé Gonzalez

Après sept longues années au Conservatoire A rayonnement Départemental d'Évry, je me suis rendu compte que le rôle de comédien ne me convenait pas. Certes il me permettait de m'exprimer sur le plateau, de m'amuser, mais c'était davantage un hobby qu'une nécessité pour moi. J'ai ensuite entamé une licence d'études théâtrales afin de satisfaire ma curiosité. C'est là que je me suis rendu compte que ce qui m'intéressait le plus n'était pas l'art des planches, mais l'art de faire vivre une compagnie. Entouré de comédiens dans mon entourage, c'est tout naturellement qu'il m'est venu l'envie de faire naître et grandir une compagnie. Etant également monteur à mes heures perdues, j'ai choisi de fonder une compagnie qui soit tout autant attirée par le théâtre que par le cinéma, ce qui me permet de joindre ces deux passions qui ne m'ont jamais quitté.

Ariane Onil

C'est l'exploration de l'âme humaine jusque dans ses recoins sombres et poisseux qui me fascine. Un pied dans la toile est pour moi une invitation à passer de l'autre côté, dans ce qu'on ne veut pas voir, dans ce qui est véritablement vécu mais que la société ne laisse pas exprimer : l'instinct bestial de l'homme confronté à la souffrance de l'enfant en son sein.

Tess Lanfranchi-Rezzouk

Depuis que je suis petit.e je regarde des tas de films et après avoir compris que, non, je ne ferai pas d’études de médecine, je me suis inscrit.e à un cours de théâtre au lycée, puis à un stage au cours Florent. Après le bac j’ai donc suivi cette voie sans trop d’hésitation. Et après 3 ans d’études (et quelques mois de fac), je suis enfin libre de faire ce qu’il me plaît, jouer, diriger, décorer, maquiller tant que cela touche à l’art du cinéma ou du théâtre, tout me va!

Alec Boulenger

J’ai dû faire vingt bons allers-retours entre ma voiture et la porte du cours de théâtre, la première fois, tellement je me liquéfiais à l’idée de parler sur scène. J’ai vite compris, une fois le cap passé, que justement la scène était ce que je cherchais depuis un bon bout de temps. « Arrête de crier», « fais pas ton Calimero », « On dérange pas les gens ». Et bah sur le plateau, j’avais le droit de faire tout ça ! Je pouvais beugler, hurler, chialer sans que personne m’engueule. Aujourd’hui, si on me demande pourquoi j’ai choisi ce travail, ouais, je réponds sans hésiter « Ici, j’ai le droit de gueuler ». Oui, j’aime gueuler.

Antony Yin

À 19 ans, j'ai un peu plongé dans le théâtre la tête la première, sans savoir si ça allait me plaire. Quatre ans plus tard, il s’avère que je m’ennuie beaucoup moins dans la vie qu’avant et que je me suis fait des copains sur la route. J’essaie de convaincre les gens que je suis un bon comédien alors que je ne suis pas tout à fait sûr de moi. À côté, je réalise aussi. Enfin pas vraiment « à côté » du coup. En bref, j’écris, je réalise, je joue, je monte. Mais pas super super bien.

Emmanuel Pollien

Antonin Artaud récitait sur scène en se frappant la tête avec un marteau. On peut y faire un tintouin, sur scène, je vous raconte pas. Alors bon, je me suis dit qu’il faudrait peut-être un marteau en mousse. J’y croirai, les spectateurs aussi, peut-être. Et faire les singes surtout. Faire rire et pleurer, les deux en même temps? Pleurer de rire si possible. On remplace le bitume par de la mousse, ensuite on peut tout faire. On peut tomber de très haut quand il y a de la mousse en dessous. J’ai trouvé 7-8 tonnes de mousse, là-bas, par terre. Il fallait juste se baisser pour la ramasser. La mousse c’est peu cher quand on sait où chercher.

Raphaël Marteaux

Compositeur et comédien depuis maintenant quatre ans, je suis passionné par mon métier et je donne tout mon être sur chaque plateau où je travaille. Après avoir enfin réalisé mon film de science-fiction rêvé depuis des années, je continue de consolider mon parcours d’acteur et désire aujourd’hui tourner pour d’autres réalisateurs, de la télévision à la web-série, dans le cinéma français ou bien à l’international.

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